Son objection à cela était qu'il ne voulait pas se couper du monde :
News, réseaux, notifications... Tout ceci nous confère l'impression réconfortante de ne pas être seul, d'avoir une sorte de sensation de contrôle sur ce qui se passe autour de nous, dans notre monde.
Je comprenais et n'ai pas insisté. Chacun fait comme bon lui semble.
Et quelques années plus tard, voici ce que me dit ce même ami :
Que le temps passé sur notre téléphone était du temps que l'on ne passait pas à faire des choses plus importantes. Puis je suis tombé sur cette citation d'un grand génie au cerveau hyperactif, Thomas Edison :
Je ne sais pas si vous arrivez à le percevoir aujourd'hui, mais réseaux, notifications, news et tout le tralala nous tourmentent plus ou moins l'esprit :
Un commentaire négatif ou une discussion houleuse sur les réseaux peut nous tourner dans la tête.
Une publicité sur les NFT peut nous titiller l'esprit ("faut que je me mette à ça avant qu'il ne soit trop tard - est-ce déjà trop tard ?").
Une photo d'un endroit de rêve publiée par entrepreneur connu que l'on suit va susciter une envie, un empressement de réussir, ou au moins d'avoir enfin un jour le temps et l'argent d'aller dans ce genre d'endroits.
Un article avec 5 tips pour rédiger de meilleurs mails de vente va nous encombrer l'esprit de "il faut que je pense à ça".
Un livre qui nous intéresse va s'ajouter à la liste de ceux que l'on doit acheter et lire… (tellement frustrant de les voir s'accumuler !)
Tout ceci divise notre focus - on ouvre des boucles de réflexions différentes qui vont épuiser notre énergie et disperser notre génie créatif. Alors que...
"The best thinking has been done in solitude."
Comprenez-vous mieux cette partie de la citation ?
Et avoir donc l'espace mental de trouver des solutions pertinentes, et d'avancer focus, sans penser à droite et à gauche. Sans que notre réflexion puis donc nos actions soient polluées par d'innombrables informations et tentations extérieures.
D'où l'utilité de se débarrasser de tout ce brouhaha ambiant auquel nous avons accès avec nos téléphones ! Bien sûr, il serait extrême de revenir à un téléphone à clapet. Ou de ne plus avoir de téléphone tout court. Je ne le recommande pas non plus car cela reste un outil très utile. Ce que je recommande par contre, c'est de trouver un juste milieu :
Distinguer l'essentiel (appels, SMS) de l'important (articles, peut-être news), du superflu (réseaux, jeux…).
Et ainsi garder l'essentiel... Se laisser un petit temps pour l'important. Et un temps encore plus petit pour le superflu. Plus facile à dire qu'à faire ? Absolument.
C'est pourquoi, plutôt que de me battre contre ma volonté, les envies et habitudes de mon cerveau et les mécanismes d'addiction utilisés par les réseaux pour nous y amener à y revenir et y passer du temps ?
J'ai trouvé des solutions pour me couper de mon téléphone sans avoir à me forcer à quoi que ce soit, ni dépenser quelconque énergie ou volonté.
Tout est compilé dans cette méthode très courte et très peu coûteuse :
Brain Breath.
Vivien Willard, consultant en développement d'entreprise, marketing & gestion de charge mentale, Fondateur de Omvi.
Un mot sur Vivien ?
Assisté d'une psychologue et en s'appuyant sur des recherches neuroscientifiques, il a développé principes et concepts permettant de faire d'un cerveau fertile mais surchargé un avantage créatif hors-norme pour un entrepreneur. Via consultations, formations et ses fameux OmviCONSEILS™, il partage aujourd'hui ce qui lui permet d'avancer rapidement et sereinement, en symbiose avec son cerveau hypercréactif plutôt qu'en se battant contre lui.
